L’Évangile tel qu’il m’a été révélé

Éditions Maria Valtorta

Les révélations de Maria Valtorta ont été éditées en Italie, à l’initiative des éditions Pisani en 1956, sous le titre : Il poema di Gesu, en dix volumes. Traduit dans plusieurs langues, la première traduction en espagnol est publiée en 1976. La traduction française suivra en 1979 sous le titre L’Évangile tel qui m’a été révélé.

En soixante ans, quatre millions d’exemplaires de l’ouvrage ont été diffusés, en différentes langues. En 2016 l’éditeur italien a publié une nouvelle traduction en français écrit par Yves d’Horrer.


D’avril 1943 à novembre 1950, Maria Valtorta reçoit des visions et dictées quotidiennes consignées dans 13.193 pages de cahiers, soit 122 cahiers. L’Évangile tel qu’il m’a été révélé, est extrait des visions reçues de janvier 1944 à avril 1947. Publié dès 1956, l’Oeuvre rencontre un succès ininterrompu auprès d’un public varié.

Pendant près de vingt ans, jusqu’en 1969, ce fut la seule œuvre publique de Maria Valtorta.

Les principales raisons

de l’évangile tel qu’il m’a été révélé

Jésus dit: « Les raisons qui m’ont poussé à éclairer et à dicter les épisodes et les paroles que j’ai adressées au petit Jean [*] sont multiples, en plus de la joie de communiquer une exacte connaissance de Moi à cette âme victime et aimante. Mais l’âme de tout cela c’est mon amour pour l’Église enseignante et militante et le désir d’aider les âmes dans leur montée vers la perfection. De me connaître, cela aide à monter. Ma Parole est Vie. Je nomme les principales »

 Tome 10, chapitre 652.

[*] Petit Jean : Surnom affectueux donné par Jésus à Maria Valtorta, en référence à l’apôtre bien-aimé.

Les sept parties de l’évangile tel qu’il m’a été révélé

« La raison la plus profonde du don de cette œuvre, c’est qu’en ces temps où le modernisme, condamné par mon St Vicaire Pie X [3], se corrompt pour donner naissance à des doctrines toujours plus nuisibles, la sainte Église, représentée par mon Vicaire, ait des ressources de plus pour combattre ceux qui nient :

– le caractère surnaturel des dogmes ;
– la divinité du Christ ;
– la Vérité du Christ, Dieu et Homme, réel et parfait comme elle nous a été transmise aussi bien par la foi que par son histoire (Évangile, Actes des Apôtres, Lettres apostoliques, tradition) ;
– la doctrine de Paul et de Jean et des conciles de Nicée, Éphèse et Chalcédoine, comme ma vraie doctrine enseignée verbalement par Moi ;
– ma science illimitée parce que divine et parfaite ;
– l’origine divine des dogmes, des Sacrements de l’Église Une, Sainte, Catholique, Apostolique ;
– l’universalité et la continuité, jusqu’à la fin des siècles, de l’Évangile donné par Moi et pour tous les hommes ;
– la nature parfaite, dés le début, de ma doctrine qui ne s’est pas formée comme elle est à travers des transformations successives, mais est telle qu’elle a été donnée : Doctrine du Christ, du temps de la Grâce, du Royaume des Cieux et du Royaume de Dieu en vous, divine, parfaite, immuable, Bonne Nouvelle pour tous ceux qui ont soif de Dieu.

Au dragon rouge [allusions à Daniel 7 ; Apocalypse 12‑20.] aux sept têtes, aux dix cornes et aux sept diadèmes sur sa tête, qui par la queue tire le tiers des étoiles du ciel et les précipite en bas – et en vérité je vous dis qu’elles sont précipitées encore plus bas que sur la terre – et qui persécute la Femme; aux bêtes de la mer et de la terre que beaucoup trop adorent, séduits comme ils le sont par leurs aspects et leurs prodiges, opposez mon Ange qui vole au milieu du ciel en tenant l’Évangile Éternel bien ouvert même sur les Pages closes jusqu’ici, pour que les hommes puissent se sauver, grâce à sa lumière. des spires du grand serpent aux sept gueules, qui veut les noyer dans ses ténèbres, et qu’à mon retour je retrouve encore la foi et la charité dans le cœur de ceux qui auront persévéré et qu’ils soient plus nombreux que ce que le travail de Satan et des hommes laisse espérer qu’ils puissent être. »

 

 

Réveiller chez les Prêtres et chez les laïcs un vif amour pour l’Évangile et pour ce qui se rapporte au Christ. Avant tout, une charité renouvelée pour ma Mère, dans les prières de laquelle réside le secret du salut du monde. C’est Elle, ma Mère, qui est la victorieuse du Dragon maudit.

Aidez sa puissance par votre amour renouvelé envers Elle et par votre foi renouvelée et votre connaissance de ce qui s’y rapporte. C’est Marie qui a donné au monde le Sauveur. C’est encore d’Elle que le monde aura le salut.

Donner aux maîtres spirituels et aux directeurs d’âmes une aide pour leur ministère, en étudiant le monde des esprits différents qui a vécu autour de Moi et des diverses manières dont je me suis servi pour les sauver.

Ce serait on effet une sottise de vouloir employer une méthode unique pour toutes les âmes. Différente est la manière d’attirer à la Perfection un juste qui y tend spontanément, de celle qu’il faut employer pour celui qui est croyant mais pécheur, de celle dont il faut user pour un gentil. Vous en avez tant même parmi vous, si vous arrivez à juger gentils, comme les juge votre Maître, les pauvres êtres qui ont substitué au vrai Dieu l’idole de la puissance et de la force, ou de l’or, ou de la luxure, ou de l’orgueil de leur savoir. Et différente est la manière à employer pour sauver les modernes prosélytes, c’est-à-dire ceux qui ont accepté l’idée chrétienne mais non l’appartenance à la cité chrétienne, en appartenant aux Églises séparées. Qu’on ne méprise personne, et moins que toutes autres ces brebis égarées. Aimez-les et cherchez à les ramener au Bercail Unique pour que s’accomplisse le désir du Pasteur Jésus.

Certains objecteront en lisant cette œuvre : “Il ne ressort pas de l’Évangile que Jésus ait eu des contacts avec des romains ou des grecs, et nous rejetons donc ces pages”. Que de choses ne ressortent pas de l’Évangile, ou transparaissent à peine derrière d’épais rideaux de silence que les Évangélistes ont laissé tomber à cause de leur infrangible mentalité d’hébreux à propos d’épisodes qu’ils n’approuvaient pas ! Croyez-vous connaître tout ce que j’ai fait ?

En vérité je vous dis que même après avoir lu et accepté cette illustration de ma vie publique, vous ne connaissez pas tout de Moi. J’aurais fait mourir, dans la fatigue d’être le chroniqueur de toutes les journées de mon ministère, et de toutes les actions accomplies en chacune de ces journées, mon petit Jean si je lui avais fait connaître tout pour qu’il vous transmette tout ! “Il y a ensuite d’autres choses faites par Jésus dont je crois que si on les écrivait une par une le monde ne pourrait contenir les livres que l’on devrait écrire” dit Jean [Cf. La fin de l’Évangile de Jean 21,25.]. À part l’hyperbole, en vérité je vous dis que si on avait dû écrire toutes les actions particulières, toutes mes instructions particulières, mes pénitences et mes oraisons pour sauver une âme, il aurait fallu les salles de l’une de vos bibliothèques, et une des plus grandes, pour contenir les livres qui parlent de Moi.

Et en vérité je vous dis aussi qu’il serait beaucoup plus utile pour vous de mettre au feu tant de science inutile poussiéreuse et malsaine pour faire place à mes livres, que de connaître si peu de choses de Moi et d’adorer ainsi à ce point ces imprimés presque toujours souillés d’impureté et d’hérésie.

Ramener à leur vérité les figures du Fils de l’Homme et de Marie, vrais fils d’Adam pour la chair et le sang, mais d’un Adam innocent. Comme nous devaient être les fils de l’Homme, si les premiers Parents n’avaient pas avili leur parfaite humanité – dans le sens du mot homme, c’est-à-dire de créature dans laquelle se trouve une double nature, la nature spirituelle, à l’image et à la ressemblance de Dieu, et la nature matérielle – comme vous savez qu’ils ont fait. Des sens parfaits, c’est-à-dire soumis à la raison, malgré leur grande finesse. Dans les sens, j’inclus les sens moraux avec les sens corporels. Amour complet et donc parfait, à la fois pour l’époux auquel ne l’attache pas la sensualité, mais seulement le lien d’un amour spirituel, et pour le Fils, tout aimé, aimé avec toute la perfection d’une femme parfaite pour l’enfant qui est né d’elle. C’est ainsi qu’Ève aurait dû aimer : comme Marie : c’est-à-dire non pour la jouissance charnelle qu’apportait le fils, mais parce que ce fils était le fils du Créateur et accomplissement de l’obéissance à son commandement de multiplier l’espèce humaine.

Et aimé avec toute l’ardeur d’une parfaite croyante qui sait que son Fils est non pas en figure, mais réellement : Fils de Dieu. À ceux qui trouvent trop affectueux l’amour de Marie pour Jésus, je dis de considérer qui était Marie : la Femme sans péché et donc sans tare pour sa charité envers Dieu, envers ses parents, envers son époux, envers son Fils, envers le prochain, de considérer ce que voyait sa Mère en Moi en plus que d’y voir le Fils de son sein, et enfin de considérer la nationalité de Marie. Race hébraïque, race orientale, et temps très éloignés des temps actuels. Ainsi de ces éléments ressort l’explication de certaines amplifications verbales de l’amour qui pour vous peuvent paraître exagérées. Style fleuri et pompeux, même dans le langage ordinaire, le style oriental et hébraïque. Tous les écrits de ce temps et de cette race en sont une preuve, et le déroulement des siècles n’a pas beaucoup changé le style de l’orient.

Parce que vous, vingt siècles plus tard, et quand la perversité de la vie a tué un si grand amour, prétendriez-vous que vous devez trouver en ces pages une Marie de Nazareth telle que la femme indifférente et superficielle de votre temps ? Marie est ce qu’elle est, et on ne change pas la douce, pure, affectueuse Fille d’Israël, Épouse de Dieu, Mère virginale de Dieu, en une femme excessivement, maladivement exaltée, ou une femme glacialement égoïste de votre siècle.

À ceux qui jugent trop affectueux l’amour de Jésus pour Marie, je dis de considérer qu’en Jésus était Dieu, et que Dieu Un et Trin prenait son réconfort en aimant Marie, Celle qui le repayait de la douleur de toute la race humaine, le moyen pour que Dieu puisse revenir se glorifier de sa Création et qui donne des habitants à ses Cieux. Et qu’ils considèrent enfin que tout amour devient coupable quand, et seulement, quand il enfreint l’ordre, c’est-à-dire quand il va contre la volonté de Dieu et le devoir qu’il faut accomplir.

Or considérez : l’amour de Marie a-t-il fait cela ? Mon amour a-t-il fait cela ? M’a-t-elle retenu, par un amour égoïste, de faire toute la Volonté de Dieu ? Est-ce que par un amour désordonné pour ma Mère, j’ai peut-être renié ma mission ? Non. L’un et l’autre amour n’ont eu qu’un seul désir : que s’accomplisse la Volonté de Dieu pour le salut du monde. Et la Mère a fait tous les adieux à son Fils, et le Fils a fait tous les adieux à sa Mère, en livrant son Fils à la croix de l’enseignement public et à la croix du Calvaire, en livrant sa Mère à la solitude et au déchirement pour qu’elle soit Corédemptrice, sans tenir compte de notre humanité qui se sentait déchirer et de notre cœur qui se sentait briser par la douleur. Cela est-il de la faiblesse ? Du sentimentalisme ? C’est l’amour parfait, ô hommes qui ne savez pas aimer, et qui ne comprenez plus l’amour et ses voix !

Et cette Œuvre a encore pour but d’éclairer des points qu’un ensemble complexe de circonstances a couvert de ténèbres et forme ainsi des zones obscures dans la clarté du tableau évangélique et des points qui semblent des ruptures, et ne sont que des points devenus obscurs, entre l’un ou l’autre épisode, points indéchiffrables et dans l’éclaircissement desquels se trouve la clef pour comprendre exactement certaines situations qui s’étaient créées et certaines manières fortes que j’avais dû avoir, qui contrastaient tellement avec mes exhortations continuelles au pardon, à la douceur et à l’humilité, certaines raideurs envers des adversaires entêtés et que rien ne pouvait convertir.

Souvenez-vous tous, qu’après avoir usé de toute sa miséricorde, Dieu, pour son honneur, sait aussi dire « Cela suffit » à ceux qui, à cause de sa bonté, se croient permis d’abuser de sa longanimité et de l’éprouver. On ne se moque pas de Dieu. C’est une parole ancienne et sage.

Connaître exactement la complexité et la durée de ma longue passion, qui culmine dans la Passion sanglante accomplie en quelques heures, qui m’avait consumé en un tourment quotidien qui avait duré des lustres et des lustres, et était allé toujours en grandissant, et avec ma passion celle de ma Mère à laquelle l’épée de douleur avait transpercé le cœur pendant un temps égal. Et vous pousser, par cette connaissance, à nous aimer davantage.

 

 

Montrer la puissance de ma Parole et ses effets différents selon que celui qui la recevait appartenait à la troupe des gens de bonne volonté ou à celle de ceux qui avaient une volonté sensuelle qui n’est jamais droite.

Les Apôtres et Judas, voici deux exemples opposés. Les premiers, très imparfaits, rustres, ignorants, violents, mais de bonne volonté. Judas, plus instruit que la majorité d’entre eux, raffiné par la vie dans la capitale et dans le Temple, mais de mauvaise volonté. Observez l’évolution des premiers dans le Bien, leur montée. Observez l’évolution du second dans le Mal et sa descente.

Qu’ils observent cette évolution dans la perfection des onze bons surtout ceux qui, par un défaut de vision mentale, ont l’habitude de dénaturer la réalité des saints, en faisant de l’homme qui atteint la sainteté par une lutte dure, très dure, contre les forces lourdes et obscures, un être contre nature sans passions et sans frémissements, et par conséquent sans mérites. Car le mérite vient justement de la victoire sur les passions désordonnées et les tentations que l’on domine grâce à l’amour de Dieu et pour arriver à la fin dernière : jouir éternellement de Dieu. Qu’ils l’observent ceux qui prétendent que le miracle de la conversion doit venir uniquement de Dieu. Dieu donne les moyens pour se convertir, mais Il ne violente pas la liberté de l’homme, et si l’homme ne veut pas se convertir, c’est inutilement qu’il a ce qui pour un autre sert à la conversion.

Qu’ils considèrent ceux qui examinent, les multiples effets de ma Parole, non seulement sur l’homme humain, mais aussi sur l’homme spirituel. Non seulement sur l’homme spirituel, mais aussi sur l’homme humain. Ma Parole, accueillie avec bonne volonté, transforme l’un et l’autre, en l’amenant à la perfection extérieure et intérieure.

Les apôtres qui, à cause de leur ignorance et de mon humilité, traitaient le Fils de l’Homme avec une familiarité excessive — un bon maître parmi eux, rien de plus, un maître humble et patient avec lequel il était permis de prendre des libertés excessives; mais pour eux n’était pas manque de respect : c’était de l’ignorance et donc excusable — les apôtres bagarreurs entre eux, égoïstes, jaloux dans leur amour et de mon amour, impatients avec le peuple, un peu orgueilleux d’être “les Apôtres”, anxieux de l’extraordinaire qui les indique à la foule comme doués d’un pouvoir stupéfiant, lentement mais continuellement se transforment en hommes nouveaux, en dominant au début leurs passions pour m’imiter et me faire plaisir, par la suite en connaissant toujours plus mon vrai Moi, en changeant leurs manières et leur amour jusqu’à me voir, m’aimer et me traiter comme un Seigneur divin. Sont-ils peut-être encore à la fin de ma vie sur la Terre les compagnons superficiels et joyeux des premiers temps ? Sont-ils, surtout depuis la Résurrection, les amis qui traitent le Fils de l’Homme en Ami ? Non. Ils sont les ministres du Roi, d’abord. Ils sont les prêtres de Dieu, ensuite. Tous différents, complètement transformés.

Qu’ils considèrent cela ceux qui trouveront forte, et jugeront contre-nature la nature des apôtres, telle qu’elle était décrite. Je n’étais pas un docteur difficile ni un roi orgueilleux, je n’étais pas un maître qui juge indigne de lui les autres hommes. J’ai su compatir. J’ai voulu former en prenant des matières grossières, remplir de perfections de toutes espèces des vases vides, prouver que Dieu peut tout, et d’une pierre tirer un fils d’Abraham, un fils de Dieu, et d’un rien un maître, pour confondre les maîtres orgueilleux de leur science qui bien souvent a perdu le parfum de la mienne.

Enfin vous faire connaître le mystère de Judas, ce mystère qui est la chute d’un esprit que Dieu avait comblé de bienfaits extraordinaires. Un mystère qui en vérité se répète trop souvent et qui est la blessure qui fait souffrir le Cœur de votre Jésus.

Vous faire connaître comme on tombe en se changeant de serviteurs et de fils de Dieu en démons et déicides qui tuent Dieu en eux, en tuant la Grâce, pour vous empêcher de mettre le pied sur des sentiers d’où on tombe dans l’Abîme, et comment vous enseigner la façon de vous y prendre pour essayer de retenir les agneaux imprudents qui se poussent vers l’abîme.

Appliquez votre intelligence à étudier la figure horrible et pourtant commune de Judas, complexe où s’agitent comme des serpents tous les vices capitaux que vous trouvez et que vous avez à combattre dans tel ou tel. C’est la leçon que vous devez surtout apprendre, car ce sera celle qui vous sera la plus utile dans votre ministère de maîtres spirituels et de directeurs d’âmes. Combien, dans tout état de la vie, imitent Judas en se donnant à Satan et rencontrent la mort éternelle !

Les 10 tomes de l’évangile tel qu’il m’a été révélé (Maria Valtorta)

PARTIE 1

Présentation des Chapitres 1 à 43, tome1


Cycle de la naissance et de l’enfance de la Vierge Marie.

1. Une pensée en guise d’introduction. Dieu a voulu un sein immaculé.

2. Joachim et Anne font un vœu au Seigneur         

3.  À la fête des Tentes. Anne et Joachim possédaient la Sagesse.

4. Anne annonce sa maternité par un cantique. Son sein porte l’âme immaculée de Marie. 

5. Naissance de la Vierge Marie. Sa virginité dans la pensée éternelle du Père.

6. Purification d’Anne et offrande de Marie, la petite fille parfaite pour le Royaume des Cieux. 

7.  La petite Marie avec Anne et Joachim. La Sagesse du Fils est déjà sur ses lèvres.

8. Marie accueillie au Temple. Dans son humilité, elle ignorait qu’elle était la femme pleine de Sagesse.     

9. La mort de Joachim et d’Anne fut douce, après une vie de sage fidélité à Dieu dans les épreuves.  

10. Le cantique de Marie. Elle rappelait ce que son âme avait vu en Dieu.

11. Marie confie son vœu au grand-prêtre.  

12. Joseph choisi comme époux de la Vierge. 

13. Mariage de la Vierge avec Joseph, instruit par la Sagesse qu’il serait le gardien du Mystère.   

14. Les époux arrivent à Nazareth              

15. En guise de conclusion au Protévangile.   

Cycle de la naissance et de l’enfance de Jésus.

16. L’Annonciation.   

17. La désobéissance d’Ève et l’obéissance de Marie.

18. Marie annonce à Joseph la maternité d’Élizabeth et confie à Dieu le soin de justifier la sienne.  

19. Marie et Joseph se rendent à Jérusalem 

20. Départ de Jérusalem. L’aspect béatifique de Marie. Importance de la prière pour Marie et Joseph.  

21. L’arrivée de Marie à Hébron et sa rencontre avec Élisabeth. (La Visitation) 

22. Les journées passées à Hébron. Les fruits de la charité de Marie à l’égard d’Élisabeth.   

23. Naissance de Jean- Baptiste. Toute souffrance s’apaise sur le sein de Marie.  

24. Circoncision de Jean-Baptiste. Marie est source de grâce pour celui qui accueille la Lumière.

25. La présentation de Jean-Baptiste au Temple et départ de Marie. La Passion de Joseph.  

26. Joseph demande pardon à Marie. Foi, charité et humilité pour recevoir Dieu. 

27. L’édit de recensement. Enseignements sur l’amour pour son époux et sa confiance en Dieu.  

28. L’arrivée à Bethléem. 

29. La naissance de Jésus. Efficacité salvatrice de la maternité divine de Marie.  

30. L’annonce aux bergers, premiers adorateurs du Verbe fait homme. 

31. Visite de Zacharie. La sainteté de Joseph et l’obéissance aux prêtres.  

32. Présentation de Jésus au Temple. La vertu de Syméon et la prophétie d’Anne. 

33. Berceuse de la Vierge.

34. L’adoration des trois Mages. C’est “l’Évangile de la foi”.

35. La fuite en Égypte. Enseignements sur la dernière vision liée à l’avènement de Jésus.

36. La Sainte Famille en Égypte. Une leçon pour les familles. 

37. Première leçon de travail à Jésus, qui ne diffère pas des normes de son âge. 

38. Marie enseigne à Jésus, à Jude et à Jacques. 

39. Préparatifs pour la majorité de Jésus et départ de Nazareth.     

40. L’examen de la majorité de Jésus au Temple. 

41. La discussion de Jésus avec les docteurs au Temple. L’angoisse de la Mère et la réponse du Fils.    

42. La mort de Joseph. Jésus est la paix de ceux qui souffrent et de ceux qui meurent.  43. En guise de conclusion de la Vie Cachée.   

PARTIE 2

Présentation des Chapitres 44 à 140, tome2


44. L’adieu de Jésus à sa Mère, au départ de Nazareth. Les larmes et la prière de la Corédemptrice.  

45. La prédication de Jean-Baptiste et le baptême de Jésus. La manifestation divine.  

46. Jésus est tenté par Satan au désert. Comment vaincre les tentations. 

47. La rencontre avec Jean et Jacques. Parmi tous les disciples, Jean, fils de Zébédée, est le pur. 

48. Jean et Jacques rapportent à Pierre leur rencontre avec le Messie. 

49. La rencontre de Pierre et d’André après un discours à la synagogue. Jean, fils de Zébédée, est grand même dans l’humilité.   

50. À Bethsaïde, dans la maison de Pierre. La rencontre avec Philippe et Nathanaël.  

51. Marie envoie Jude inviter Jésus aux noces de Cana.

52. Les noces de Cana. Le Fils, qui n’est plus assujetti à sa Mère, accomplit pour elle son premier miracle.

53. Les marchands chassés du Temple.     

54. La rencontre de Judas Iscariote et de Thomas. Simon le zélote est guéri de sa lèpre. 

55. Une tâche confiée à Thomas.     

56. Simon le zélote et Jude unis pour leur destinée.

57. À Nazareth, avec Jude et les six autres disciples.

58. Guérison d’un aveugle à Capharnaüm après une leçon de pêche appliquée aux âmes. 

59. Le démoniaque guéri dans la synagogue de Capharnaüm en conclusion d’une discussion.

60. Guérison de la belle-mère de Simon Pierre.

61. La parabole du cheval aimé du roi et les bienfaits de Jésus pour les pauvres.     

62. Les apôtres recherchent Jésus pendant qu’il prie la nuit.  

63. Le lépreux guéri par Jésus près de Chorazeïn.  

64. La guérison du paralytique à Capharnaüm.  

65. La pêche miraculeuse et l’appel des quatre premiers apôtres.  

66. Judas Iscariote devient disciple à Gethsémani.  

67. Le miracle des lames brisées à la Porte des poissons. 

68. Jésus enseigne au Temple, avec Judas Iscariote. 

69. Jésus instruit Judas Iscariote.  

70. À Gethsémani avec Jean. Une comparaison entre le disciple bien-aimé et Judas Iscariote.

71. Judas Iscariote présenté à Jean et à Simon le zélote.   

72. En direction de Bethléem avec Jean, Simon le Zélote et Judas Iscariote.    

73. Jésus à Bethléem, dans la maison du paysan et à la Grotte 

74. À l’auberge de Bethléem et sur les ruines de la maison d’Anne.    

75. Jésus retrouve les bergers Élie et Lévi.   

76. À Yutta chez le berger Isaac. Sarah et ses enfants.

77. À Hébron, chez Zacharie. La rencontre d’Aglaé.  

78. À Kérioth. Mort du vieux Saul.  

79. En route avec les bergers. Les bijoux d’Aglaé et une parabole sur la conversion.  

80. Jésus à la montagne du jeûne et au massif de la tentation avec trois apôtres.  

81. Rencontre avec les bergers Jean, Matthias et Siméon au gué du Jourdain. Un plan pour libérer le Jean-Baptiste. 

82. À Jéricho. Judas Iscariote raconte comment il a vendu les bijoux d’Aglaé.    

83. Jésus souffre à cause de Judas, qui est une leçon vivante pour les apôtres de toute époque.      

84. La rencontre de Jésus avec Lazare à Béthanie.   

85. Avec Simon le Zélote au Temple, où Judas parle, puis à Gethsémani où se trouve Jean. 

86. Jésus parle avec le soldat Alexandre à la Porte des Poissons.    

87. Près de Docco avec les bergers et les disciples. Isaac reste en Judée.     

88. Dans la plaine d’Esdrelon. L’amour de Jean et des rares personnes comme lui. Visite au berger Jonas. 

89. Jésus prend congé de Jonas, que Simon le Zélote pense affranchir. Arrivée de Jésus à Nazareth.       

90. L’arrivée des disciples et des bergers à Nazareth.  

91. Enseignements aux disciples dans l’oliveraie, aux environs de Nazareth.   

92. Seconde instruction aux disciples près de la maison de Nazareth.

93. Troisième leçon aux disciples avec la Très Sainte Vierge Marie dans le jardin de Nazareth. La consolation de Jude d’Alphée.  

94. Guérison de la Belle de Chorazeïn (Corozaïn). Jésus parle à la synagogue de Capharnaüm. 

95. Jacques d’Alphée reçu parmi les disciples. Jésus prêche à côté du comptoir de Mathieu    

96. Jésus répond à l’accusation d’avoir guéri la Belle de Chorazeïn le jour du sabbat.  

97. L’appel de Matthieu. 

Fin du cycle du choix des apôtres.

98. Rencontre avec Marie-Madeleine sur le lac, et enseignement aux disciples aux environs de Tibériade. 136

99. À Tibériade dans la maison de Kouza (Chouza).  

100. À Nazareth, dans la maison d’Alphée, vieux et malade. La vie d’un apôtre n’est guère facile.

101. Jésus interroge sa Mère au sujet de ses disciples. 

102. Rencontre de l’ancien berger Jonathas et guérison de Jeanne de Kouza.    

103. Sur le mont Liban, chez les bergers Benjamin et Daniel.  

104. Aava réconciliée avec son époux. Nouvelles sur la mort d’Alphée et le rachat de Jonas.    

105. À Nazareth après la mort d’Alphée. Lente conversion de Simon, le cousin de Jésus. 

106. Jésus chassé de Nazareth et réconforté par sa Mère. Réflexions sur quatre contemplations. 

107. Jésus avec sa mère chez Jeanne, femme de Kouza.

108. Discours aux vendangeurs. L’enfant paralytique guéri par l’intercession de la Mère de Jésus.  

109. Dans les champs de Yokhanan et de Doras. Morts de Jonas à la maison de Nazareth.  

Fin du cycle des bergers

110. Dans la maison de Jacob près du lac Mérom. 

111. Rencontre de Salomon au gué du Jourdain. La parabole de la conversion des cœurs.   

112. Judas surpris à Jéricho. À Béthanie, chez Lazare qui lui présente Marthe. 

113. Retour à Béthanie après la fête des Tentes. 

114. Gamaliel et Nicodème assistent au banquet de Joseph d’Arimathie.   

115. Guérison d’un enfant blessé par le cheval d’Alexandre. Jésus chassé du Temple.     

116. À Gethsémani, les disciples parlent avec Jésus des païens et de la « femme voilée ». La conversation avec Nicodème.   

117. Jésus chez Lazare avant d’aller à La Belle Eau. 

118. Débuts de vie commune avec les disciples à la Belle Eau et discours d’inauguration.   

Début de la vie commune : cycle des dix commandements.

119. Les discours de la Belle Eau : « Je suis le Seigneur ton Dieu ». Jésus baptise comme Jean.    

120. Les discours de la Belle Eau : « Tu n’auras pas d’autres dieux devant moi ». 

121. Les discours de la Belle Eau : « Tu ne prononceras mon nom en vain ». La visite de Manahen.  

122. Les discours de la Belle Eau : Honore ton père et ta mère. Guérison d’un simple d’esprit.  

123. Les discours de La Belle Eau : Tu ne commettras pas d’impureté. L’affront de cinq notables.  

124. La femme voilée accueillie à la « Belle-Eau ».    

125. Les discours de La Belle Eau : Tu sanctifieras les Fêtes. Guérison d’un enfant aux jambes fracturées.

126. Jésus à La Belle Eau : « Tu ne tueras pas ». Mort de Doras. 

127. Les discours de la Belle-Eau. « Tu ne tenteras pas le Seigneur Ton Dieu ». Le témoignage de Jean-Baptiste.

128. Les discours de la Belle-Eau. « Tu ne convoiteras pas la femme d’autrui ». Guérison d’un jeune débauché.      

129. À la Belle Eau, Jésus guérit un Romain possédé.  

130. Les discours de la Belle-Eau : « Tu ne porteras pas de faux témoignages ». Le petit Asraël. 

131. Les discours de la Belle Eau : « Tu ne voleras pas et tu ne désireras pas ce qui appartient à autrui ». Le péché d’Hérode.     

132. Discours de clôture à la Belle-Eau. Annonce à Simon Pierre de sa primauté spirituelle.  

Fin du cycle des dix commandements.

133. André est le modèle idéal du prêtre. Une lettre de Marie. Jésus contraint de quitter la Belle Eau. 

134. La guérison de Jérusa à Docco.   

135. L’arrivée Béthanie. Marie-Madeleine écoute un discours de Jésus. 

136. La fête des Encénies dans la maison de Lazare. Prédiction sur les âmes qui ressuscitent de leur propre volonté et évocation de la naissance de Jésus.

137. Le retour à « La Belle Eau » et conflit avec les pharisiens qui ont agressé et chassé la femme voilée.

138. Adieu au régisseur de la Belle Eau et au chef de la synagogue, Timon, qui devient disciple. 

139. Sur les monts d’Emmaüs. Le caractère de Judas et les qualités des bons.  

140. À Emmaüs, chez Cléophas, le chef de la synagogue. Un cas d’inceste. Fin de la première année.  

Fin de la première année d’évangélisation.

PARTIE 3

Présentation des Chapitres 141 à 312, du tome3 au tome 4


141. En route vers Arimathie avec les disciples et Joseph d’Emmaüs.

142. En route avec les Douze pour la Samarie. 

Cycle de la samaritaine.

143. Photinaï, la samaritaine.    

144. Les samaritains invitent Jésus à Sychar.       

145. Le premier jour à Sychar.                                                                                       

146. Le second jour à Sychar. Adieu aux samaritains.   

147. Guérison d’une femme de Sychar et conversion de Photinaï.   

148. Jésus rend visite à Jean-Baptiste près d’Hennon. 

149. L’héritage de Jean-Baptiste. L’heure de la mort pour les apôtres. L’amour de Dieu chez Jean.   

Cycle de l’apostolat féminin.

150. À Nazareth, chez sa Mère qui devra suivre son Fils.  

151. À Cana, dans la maison de Suzanne qui deviendra disciple. L’officier royal.   

152. Marie Salomé accueillie comme disciple. 

153. Les femmes des disciples au service de Jésus.     

154. À Césarée Maritime, discours aux galériens et rencontre de Claudia Procula. Une fatigue du « porte-parole ».  

155.  À Césarée, guérison d’une petite fille romaine et altercation sur les contacts avec les païens.   

156.  Annalia, la première vierge consacrée.

157. La nouvelle mission de la femme dans le discours aux disciples à Nazareth. 

158.  Sur le lac de Génésareth avec Jeanne de Kouza.   

Fin du cycle de l’apostolat féminin.

159. Discours à Guerguesa (Gerghesa) sur la sincérité dans la foi. La réponse sur le jeûne aux disciples de Jean-Baptiste.  

160. Rencontre de Gamaliel sur la route de Nephtali à Giscala.

161. La guérison du petit-fils du pharisien Éli de Capharnaüm.

162. Les conversions humaines d’Éli le pharisien et de Simon, fils d’Alphée.

163. Au banquet chez le pharisien Éli, on parle de taxes et du royaume messianique.

164. La retraite sur la montagne avant le choix des apôtres.

165. L’élection des douze apôtres.

166. Les miracles qui suivent l’élection apostolique. Première prédication de Simon le Zélote et de Jean.

167.  La rencontre des Romaines dans le jardin de Jeanne de Kouza.

168. Aglaé dans la maison de Marie à Nazareth.   

Cycle du Sermon sur la Montagne.

169.  Premier sermon sur la Montagne : la mission des apôtres et des disciples.

170. Deuxième sermon sur la Montagne : le don de la grâce et les Béatitudes.

171. Troisième sermon sur la Montagne : les conseils évangéliques qui perfectionnent la Loi.

172. Quatrième sermon sur la Montagne : le serment, la prière, le jeûne. Le vieil Ismaël et Sarah.

173. Cinquième discours sur la Montagne : l’usage des richesses, l’aumône, la confiance en Dieu.     

174. Sixième sermon sur la Montagne : choisir entre le bien et le mal, l’adultère, le divorce. L’arrivée importune de Marie-Madeleine.

175. Le lépreux guéri au pied de la montagne. La générosité du scribe Jean.

176. Pendant la pause du sabbat, le dernier sermon sur la Montagne : aimer la volonté de Dieu. 

Fin du cycle du Sermon sur la Montagne.

177. La guérison du serviteur du centurion  

178. Trois hommes qui veulent suivre Jésus.  

179. La parabole du semeur. À Chorazeïn avec Élie, le nouveau disciple. 

180. Discussion dans la cuisine de Pierre à Bethsaïde. Explication de la parabole du semeur. La nouvelle de la second capture du Baptiste 

181. La parabole du bon grain et de l’ivraie. 

182. Discours à des bergers, en présence de Zacharie, le petit orphelin. 

183. Guérison d’un homme blessé dans la maison de Marie de Magdala. 

184.  Le petit Benjamin de Magdala et deux paraboles sur le Royaume des Cieux.    

185. L’épisode de la tempête apaisée et les faits qui précèdent.

186. Les deux possédés géraséniens.

Cycle du second voyage pascal.

187. De Tarichée à Jérusalem pour la Pâque. Jean pris par l’amour de la mer.

188. À En-Dor, après une ascension sur le mont Thabor. La caverne de la magicienne et la rencontre de Félix, qui reçoit le nom de Jean.  

189. À Naïm. Résurrection du fils d’une veuve. 

190. L’arrivée dans la plaine d’Esdrelon, vendredi, au crépuscule. 

191. Le sabbat à Esdrelon. Le petit Yabeç (Jabé) et la parabole du riche Epulon.(La parabole de Lazare et du mauvais riche). 

192. Une prédiction à Jacques d’Alphée. L’arrivée à En-Gannim après une pause à Mageddo.

193. L’arrivée à Sichem après deux jours de marche. 

194. Révélation au petit Yabeç durant le trajet de Sichem à Bérot.  

195. Une leçon de Jean d’En-Dor à Judas. L’entrée à Jérusalem. 

196. Le sabbat à Gethsémani. Jésus évoque l’enfance de sa Mère et classe les différents amours selon leur puissance. 

197. Au Temple avec Joseph d’Arimathie. À l’heure de l’encens.

198. Jésus rencontre sa mère à Béthanie, Yabeç change son nom en Marziam.  

199. Chez les lépreux de Siloan et de Ben Hinnom. Pierre obtient Marziam grâce à Marie.  

200. Aglaé et le parfum de sa joie d’être sauvée. 

201. L’examen de majorité de Marziam 

202. La veille de Pâque au Temple  

203. Jésus enseigne le Pater noster    

Fin du cycle de la seconde Pâque.

204. La foi et l’âme expliquées aux païens par la parabole des temples. 

205. Les premières charges confiées à Jean d’En-Dor. La parabole du fils prodigue. Judas ramené à Jésus par Marie.    

206. Le séjour à Béthanie se termine par deux paraboles sur le Royaume des Cieux. 1 – La parabole des dix vierges. 2 – La parabole du roi qui fait les noces à son fils.   

Voyage dans l’attente de la Pentecôte.

207.  À Bethléem, Marie évoque la naissance de Jésus.  

208. La haine de l’innocent Marziam. Marie revoit le berger Élie et va chez Élise de Bet-Çur (Béthsur) avec Jésus. 

209. La fécondité de la souffrance dans le discours de Jésus, près de la maison d’Élise, à Bet-Çur.   

210. En route vers Hébron, les inquiétudes de Judas Iscariote. 

211. Retour à Hébron. Discours et miracles dans le jardin de la maison de Jean-Baptiste.   

212. Une onde d’amour pour Jésus, qui parle à Yutta dans la petite maison d’Isaac.  

213. À Kérioth, une prophétie de Jésus et le début de la prédication apostolique.   

214. La mère de Judas se confie à la Mère de Jésus, arrivée à Kérioth avec Simon le Zélote. 

215. Philippe et André parlent à Bét-Ginna. Guérison de la fille lunatique de l’aubergiste.  

216. Les infidélités des disciples, dans la parabole du pissenlit.   

217. Les épis cueillis le jour du sabbat.   

218. Diverses rencontres à Ashqelôn (Ascalon), ville de Philistie.  

219. Les différents fruits de la prédication des apôtres à Ashqelôn. 

220. Les idolâtres de Magdalgad et le miracle accompli pour une femme en couches.     

221. Les préventions des apôtres à l’égard des païens et la parabole du fils difforme.   

222. Un secret de l’apôtre Jean.   

223. Un discours de Jésus évite que des pillards s’en prennent à une caravane nuptiale.

224. Le secret de l’apôtre Jean dévoilé. L’arrivée à Bether, dans les roseraies de Jeanne de Kouza.  Fin du voyage dans l’attente de la Pentecôte.

PARTIE 4

Présentation des Chapitres 313 à 540, du tome 6 au tome 7


313. Préparatifs pour le départ de Nazareth après la visite de Simon d’Alphée, et de sa famille. Dans cette troisième année, Jésus sera le Juste.  

Les deux exilés : voyage à Antioche de Syrie.

314. Le diner dans la maison de Nazareth et le douloureux départ.    

315. Le voyage vers Jiphtaël et les réflexions de Jean d’En-Dor.       

316. L’adieu de Jésus à Jean d’En-Dor et à Syntica.  

317. Isolement et prière de Jésus pour le salut de Judas Iscariote.    

318. Voyage en barque des huit disciples avec Jean d’En-Dor et Syntica.   

319. Départ de Tyr sur le navire de Nicomède le crétois.  

320. Prodiges sur le navire en proie à une mer en furie.

321. Débarquement à Séleucie et adieux de Nicomède. 

322. Départ de Séleucie sur un char et arrivée à Antioche.   

323. La visite à Antigonée (Antigonea).    

324. Les discours des huit apôtres avant de repartir d’Antioche. L’adieu à Jean d’En-Dor et à Syntica.  

325. Les huit apôtres retrouvent Jésus près d’Aczib.

326. Un séjour à Aczib.  

Fin du cycle des deux exilés

327. Évangélisation du côté de la Phénicie.

328. Jésus à Alexandroscène.  

329. Au marché d’Alexandroscène. La parabole des ouvriers de la vigne. Le soldat Aquila. (Les ouvriers de la onzième heure).

330. Jacques et Jean deviennent « les fils du tonnerre ». Vers Aczib avec le berger Hanne.   

331. La foi de la Cananéenne et d’autres conquêtes. L’arrivée à Aczib.

332. Barthélemy découvre le pourquoi     

333. Sur le chemin du retour vers la Galilée.

334. La rencontre avec Judas Iscariote et Thomas.   

335. La fausse amitié d’Ismaël Ben Fabi et l’hydropique guéri un jour de sabbat. 

336. Jésus à Nazareth avec ses cousins et avec Pierre et Thomas. 

337. La femme courbée de Corozaïn.

338. Le figuier stérile. En allant sur la route de Séphet.  

339. En allant vers Meiéron. 

340. Repentir de Judas et conflit avec les rabbins sur la tombe d’Hillel.

341. Le sourd-muet guéri près des confins de la Phénicie 

342. Jésus à Cédès. Le signe demandé par les pharisiens et la prophétie d’Habacuc.  

343. Le levain des pharisiens. Les opinions sur le Fils de l’homme. La primauté de Pierre.

344. Rencontre avec les disciples à Césarée de Philippe et explication du signe de Jonas. 

345. Au château à Césarée Panéade.

346. Première annonce de la Passion, et reproche à Simon-Pierre.    

347. À Bethsaïde. Prophétie sur le martyre de Marziam et des apôtres. La guérison d’un aveugle.  

348. De Capharnaüm à Nazareth avec Manaën et les femmes disciples 

349. La Transfiguration sur le mont Thabor. L’épileptique guéri au pied du mont. Un commentaire sur les âmes de prédilection.

350. Instructions aux disciples après la Transfiguration. Le pouvoir de chasser les démons. 

351. Le tribut au Temple et le statère dans la bouche du poisson  

352. Un pécheur converti par Marie-Madeleine. Le petit Benjamin. Instructions sur “le plus grand” et sur “les tout-petits”, modèles à ne pas scandaliser.

353. Seconde multiplication des pains. 

355. Le nouveau disciple: Nicolaï d’Antioche.              

356. Jésus vers Gadara.   

PARTIE 5

Présentation des Chapitres 541 à 600, du tome 8 au tome 9


  1. Les juifs viennent en visite chez Lazare.
  2. Les juifs chez Lazare.
  3. Marthe envoie un serviteur prévenir le Maître.
  4. Délire et mort de Lazare.
  5. Le serviteur de Béthanie apporte à Jésus le message de Marthe. Jésus prédit à Simon-Pierre que Rome deviendra chrétienne.
  6. Le jour des funérailles de Lazare.
  7. Jésus décide de se rendre à Béthanie.
  8. La résurrection de Lazare.
  9. Séance au Sanhédrin et audience de Pilate.
  10. Les apôtres sont euphoriques. Jésus confie une mission d’amour à Lazare, et de contemplation absolue à sa sœur. Jésus doit fuir en Samarie.

Le cycle du séjour de Jésus à Éphraïm.

  1. À l’occasion d’une halte chez Nikê, les apôtres apprennent la publication du décret contre Jésus par le Sanhédrin. Ils arrivent à la frontière de la Judée
  2. Préparatifs et accueils à Éphraïm.
  3. Début du sabbat à Ephraïm. Les voleurs du mont Hadomim (Adomin). Trois enfants secourus.
  4. Le sabbat à Ephraïm, sur un îlot du torrent. Le péché originel expliqué aux trois enfants par une parabole.

TOME 9 (ÉDITION 2017) Chapitres 555 à 600.

  1. Enseignement nocturne à Simon-Pierre sur l’examen de conscience et sur la souffrance des bons et des innocents.
  2. Un autre sabbat à Éphraïm. Discours aux Samaritains sur le vrai Temple et sur les temps nouveaux.
  3. Les oncles des trois enfants arrachés aux voleurs arrivent de Sichem.
  4. Avec le groupe qui retourne à Sichem. La parabole de la goutte qui creuse le rocher.
  5. À Éphraïm, des pèlerins arrivent de la Décapole. Une mission secrète de Manahen.
  6. Dialogue dans la nuit, près de Goféna, avec Joseph d’Arimathie, Nicodème et Manahen.
  7. Le séphorim Samuel, ancien sicaire, devient disciple.
  8. Des bruits courent à Nazareth.
  9. De faux disciples à Sichem. L’esclave muet de Claudia Procula est guéri à Ephraïm.
  10. L’homme de Jabnia et la fin d’Hermastée. Reproche aux Samaritains qui manquent de charité.
  11. Samuel est troublé par Judas, qui ne comprend pas la nature de la souffrance salvifique. Les abeilles, modèle des ouvriers de Dieu.
  12. À Éphraïm, le jour de l’arrivée de Marie avec Lazare et les femmes disciples. Le caractère de Pilate.
  13. Parabole de la pièce de tissu déchirée et miracle sur une femme en couches. Long discours à Judas, surpris à voler.

Le voyage en Samarie avant la Pâque.

  1. Commencement du voyage en Samarie, d’Éphraïm en direction de Silo.
  2. À Silo. La parabole des mauvais conseillers.
  3. À Sichem
  4. La valeur que le juste donne aux conseils
  5. Jésus va à Enon
  6. À Enon. Le jeune Benjamin
  7. Jésus repoussé par les samaritains

Fin du voyage en Samarie avant la Pâque

  1. Du côté de Doco. La rencontre avec le jeune homme riche.
  2. Troisième annonce de la Passion. Marie d’Alphée évoque la figure de Joseph. La demande insensée des fils de Zébédée.
  3. Rencontre avec des disciples et des hommes de valeur conduits par Manahen. Arrivée à Jéricho.
  4. Des juifs inconnus rapportent les accusations recueillies par le Sanhédrin. Une allégorie de Jérusalem.
  5. Délation de Judas et prophéties sur Israël. Miracles sur la route de Jéricho à Béthanie.
  6. À Béthanie, chez Lazare.
  7. Le vendredi d’avant l’entrée à Jérusalem : une toute dernière offrande pour le salut de Judas Iscariote.
  8. La veille du sabbat qui précède l’entrée à Jérusalem. L’adieu aux femmes disciples. Le malheureux petit fils de Nahum.
  9. Le sabbat qui précède l’entrée à Jérusalem. La parabole des deux lampes et celle de l’enfant difforme guéri. La souffrance de l’humanité dans les siècles futurs.
  10. Le sabbat qui précède l’entrée à Jérusalem. Les pèlerins et les juifs à Béthanie. La Sanhédrin prend sa décision.
  11. Le sabbat qui précède l’entrée à Jérusalem. Le diner à Béthanie. Judas Iscariote prend sa décision.
  1. L’adieu à Lazare.
  2. Judas va trouver les chefs du Sanhédrin.
  3. De Béthanie à Jérusalem. (Jésus prépare les apôtres à sa Passion imminente).
  4. Le dimanche des rameaux.

    La semaine Sainte
  5. Le soir du dimanche des Rameaux. Les apôtres sont rappelés à la réalité après l’ivresse du triomphe.
  6. Le lundi saint.
    Réconfort de la mère d’Annalia, et rencontre du soldat Vital. Le figuier stérile et la parabole des vignerons perfides. Questions sur l’autorité de Jésus et sur le baptême de Jean.
  7. Le lundi avant la Pâque : la nuit à Gethsémani avec les apôtres.
  8. Mardi saint.
    Enseignements à partir du figuier desséché. Questions sur le tribut à payer à César et sur la résurrection.
  9. Le mardi avant la Pâque, de nuit, avec les apôtres à Gethsémani.
  10. Le mercredi saint.
    Le plus grand des commandements, l’obole de la veuve, l’invective contre les scribes et les pharisiens. Jésus se repose avec sa Mère et les femmes disciples. L’édification de l’Église et les derniers temps.
  11. La nuit du mercredi à Gethsémani avec les apôtres.
  12. Le jeudi saint.
    Les préparatifs de la Cène pascale. La voix du Père. Le signe convenu avec le traître. Les hommages d’importants personnages.
  13. L’arrivée au Cénacle et les adieux de Jésus à sa Mère.
  14. La dernière Cène.

PARTIE 6

Présentation des Chapitres 601 à 615, tome 9


  1. Passion et mort de Jésus : introduction.
  2. Vers Gethsémani avec onze apôtres. L’agonie spirituelle et la capture de Jésus.
  3. Réflexions sur l’agonie de Jésus à Gethsémani, et début des autres douleurs de la Passion.
  4. Les procès et le reniement de Pierre. Considérations sur Pilate.
  5. Désespoir et suicide de Judas. Il aurait encore pu être sauvé s’il s’était repenti.
  6. Jésus et Marie sont l’antithèse d’Adam et Ève. Judas est le nouveau Caïn. La véritable évolution de l’homme est d’ordre spirituel.
  7. Jean va chercher Marie.
  8. Le chemin de croix du Prétoire au Calvaire.
  9. La Crucifixion, la mort et la déposition de croix.
  10. L’angoisse de Marie au tombeau et l’onction du corps de Jésus.
  11. Le scellement du tombeau et le retour au Cénacle.
  12. La nuit du Vendredi saint. Les lamentations de la Vierge. Le voile de Nikê (Véronique) et la préparation des onguents.
  13. Réflexions sur la Passion de Jésus et de Marie, et sur la compassion de Jean.
  14. Le jour du Samedi saint.
  15. La nuit du Samedi saint.

PARTIE 7

Présentation des Chapitres 616 à 651, tome 10


  1. Le matin de la Résurrection. Prière de Marie.
  2. La Résurrection.
  3. Jésus ressuscité apparaît à sa Mère.
  4. Les saintes femmes au tombeau du Christ.
  5. Considérations sur la Résurrection.
  6. Apparition à Lazare.
  7. Apparition à Jeanne de Kouza.
  8. Apparition à Joseph d’Arimathie, Nicodème et Manahen.
  9. Apparition aux bergers
  10. Apparitions aux disciples d’Emmaüs.
  11. Arrivée des païens et mentions d’autres apparitions.
  12. Apparition aux apôtres réunis au Cénacle.

Fin de la journée du dimanche de la Résurrection

  1. Le retour de Thomas et son incrédulité.
  2. Apparition aux apôtres en présence de Thomas. Discours sur la dignité du sacerdoce et sur les futurs prêtres.
  3. Les apôtres envoyés à Gethsémani. Méditations sur la prière du Notre-Père.
  4. Les apôtres envoyés au Golgotha, et leur retour au Cénacle.
  5. Apparitions ici et là à diverses personnes.
  6. Apparition sur les rives du lac, et confirmation du mandat de Pierre.
  7. Enseignements aux apôtres et aux nombreux disciples sur le mont Thabor. Marziam est consolé.
  8. Leçons sur les sacrements, et prédictions sur l’Église.
  9. La Pâque supplémentaire.
  10. Adieu de Jésus à sa Mère avant de monter au Père. Nous avons tout par Marie.
  11. Derniers enseignements à Gethsémani et adieu. Ascension de Jésus vers son Père.

Temps apostoliques

  1. L’élection de Matthias
  2. La descente de l’Esprit-Saint (Pentecôte)

Fin du cycle messianique

  1. Pierre célèbre l’Eucharistie à une réunion des premiers chrétiens.
  2. Marie résidera à Gethsémani avec Jean, qui lui prédit l’Assomption.
  3. Marie sur les lieux de la Passion avec Jean
  4. Institution du dimanche. Conversion progressive de Gamaliel. Les deux linceuls.
  5. Le procès et la lapidation d’Étienne. Les voies opposées de Saul et de Gamaliel vers la sainteté.
  6. La déposition de Saint Étienne
  7. Gamaliel devient chrétien.
  8. Pierre prend congé de Marie après une conversation avec Jean.
  9. La dormition de Marie.
  10. La glorieuse Assomption de Marie.
  11. Commentaires sur la dormition de Marie, son assomption et son titre de Reine.

Au moment de prendre congé de l’Oeuvre

Présentation des Chapitres 652, tome 10


Les principales raisons d’être de l’œuvre

« La raison la plus profonde du don de cette œuvre, c’est qu’en ces temps où le modernisme, condamné par mon St Vicaire Pie X [3], se corrompt pour donner naissance à des doctrines toujours plus nuisibles, la sainte Église, représentée par mon Vicaire, ait des ressources de plus pour combattre ceux qui nient :

– le caractère surnaturel des dogmes ;
– la divinité du Christ ;
– la Vérité du Christ, Dieu et Homme, réel et parfait comme elle nous a été transmise aussi bien par la foi que par son histoire (Évangile, Actes des Apôtres, Lettres apostoliques, tradition) ;
– la doctrine de Paul et de Jean et des conciles de Nicée, Éphèse et Chalcédoine, comme ma vraie doctrine enseignée verbalement par Moi ;
– ma science illimitée parce que divine et parfaite ;
– l’origine divine des dogmes, des Sacrements de l’Église Une, Sainte, Catholique, Apostolique ;
– l’universalité et la continuité, jusqu’à la fin des siècles, de l’Évangile donné par Moi et pour tous les hommes ;
– la nature parfaite, dés le début, de ma doctrine qui ne s’est pas formée comme elle est à travers des transformations successives, mais est telle qu’elle a été donnée : Doctrine du Christ, du temps de la Grâce, du Royaume des Cieux et du Royaume de Dieu en vous, divine, parfaite, immuable, Bonne Nouvelle pour tous ceux qui ont soif de Dieu.

Au dragon rouge [allusions à Daniel 7 ; Apocalypse 12‑20.] aux sept têtes, aux dix cornes et aux sept diadèmes sur sa tête, qui par la queue tire le tiers des étoiles du ciel et les précipite en bas – et en vérité je vous dis qu’elles sont précipitées encore plus bas que sur la terre – et qui persécute la Femme; aux bêtes de la mer et de la terre que beaucoup trop adorent, séduits comme ils le sont par leurs aspects et leurs prodiges, opposez mon Ange qui vole au milieu du ciel en tenant l’Évangile Éternel bien ouvert même sur les Pages closes jusqu’ici, pour que les hommes puissent se sauver, grâce à sa lumière. des spires du grand serpent aux sept gueules, qui veut les noyer dans ses ténèbres, et qu’à mon retour je retrouve encore la foi et la charité dans le cœur de ceux qui auront persévéré et qu’ils soient plus nombreux que ce que le travail de Satan et des hommes laisse espérer qu’ils puissent être. »

 

 

Réveiller chez les Prêtres et chez les laïcs un vif amour pour l’Évangile et pour ce qui se rapporte au Christ. Avant tout, une charité renouvelée pour ma Mère, dans les prières de laquelle réside le secret du salut du monde. C’est Elle, ma Mère, qui est la victorieuse du Dragon maudit.

Aidez sa puissance par votre amour renouvelé envers Elle et par votre foi renouvelée et votre connaissance de ce qui s’y rapporte. C’est Marie qui a donné au monde le Sauveur. C’est encore d’Elle que le monde aura le salut.

Donner aux maîtres spirituels et aux directeurs d’âmes une aide pour leur ministère, en étudiant le monde des esprits différents qui a vécu autour de Moi et des diverses manières dont je me suis servi pour les sauver.

Ce serait on effet une sottise de vouloir employer une méthode unique pour toutes les âmes. Différente est la manière d’attirer à la Perfection un juste qui y tend spontanément, de celle qu’il faut employer pour celui qui est croyant mais pécheur, de celle dont il faut user pour un gentil. Vous en avez tant même parmi vous, si vous arrivez à juger gentils, comme les juge votre Maître, les pauvres êtres qui ont substitué au vrai Dieu l’idole de la puissance et de la force, ou de l’or, ou de la luxure, ou de l’orgueil de leur savoir. Et différente est la manière à employer pour sauver les modernes prosélytes, c’est-à-dire ceux qui ont accepté l’idée chrétienne mais non l’appartenance à la cité chrétienne, en appartenant aux Églises séparées. Qu’on ne méprise personne, et moins que toutes autres ces brebis égarées. Aimez-les et cherchez à les ramener au Bercail Unique pour que s’accomplisse le désir du Pasteur Jésus.

Certains objecteront en lisant cette œuvre : “Il ne ressort pas de l’Évangile que Jésus ait eu des contacts avec des romains ou des grecs, et nous rejetons donc ces pages”. Que de choses ne ressortent pas de l’Évangile, ou transparaissent à peine derrière d’épais rideaux de silence que les Évangélistes ont laissé tomber à cause de leur infrangible mentalité d’hébreux à propos d’épisodes qu’ils n’approuvaient pas ! Croyez-vous connaître tout ce que j’ai fait ?

En vérité je vous dis que même après avoir lu et accepté cette illustration de ma vie publique, vous ne connaissez pas tout de Moi. J’aurais fait mourir, dans la fatigue d’être le chroniqueur de toutes les journées de mon ministère, et de toutes les actions accomplies en chacune de ces journées, mon petit Jean si je lui avais fait connaître tout pour qu’il vous transmette tout ! “Il y a ensuite d’autres choses faites par Jésus dont je crois que si on les écrivait une par une le monde ne pourrait contenir les livres que l’on devrait écrire” dit Jean [Cf. La fin de l’Évangile de Jean 21,25.]. À part l’hyperbole, en vérité je vous dis que si on avait dû écrire toutes les actions particulières, toutes mes instructions particulières, mes pénitences et mes oraisons pour sauver une âme, il aurait fallu les salles de l’une de vos bibliothèques, et une des plus grandes, pour contenir les livres qui parlent de Moi.

Et en vérité je vous dis aussi qu’il serait beaucoup plus utile pour vous de mettre au feu tant de science inutile poussiéreuse et malsaine pour faire place à mes livres, que de connaître si peu de choses de Moi et d’adorer ainsi à ce point ces imprimés presque toujours souillés d’impureté et d’hérésie.

Ramener à leur vérité les figures du Fils de l’Homme et de Marie, vrais fils d’Adam pour la chair et le sang, mais d’un Adam innocent. Comme nous devaient être les fils de l’Homme, si les premiers Parents n’avaient pas avili leur parfaite humanité – dans le sens du mot homme, c’est-à-dire de créature dans laquelle se trouve une double nature, la nature spirituelle, à l’image et à la ressemblance de Dieu, et la nature matérielle – comme vous savez qu’ils ont fait. Des sens parfaits, c’est-à-dire soumis à la raison, malgré leur grande finesse. Dans les sens, j’inclus les sens moraux avec les sens corporels. Amour complet et donc parfait, à la fois pour l’époux auquel ne l’attache pas la sensualité, mais seulement le lien d’un amour spirituel, et pour le Fils, tout aimé, aimé avec toute la perfection d’une femme parfaite pour l’enfant qui est né d’elle. C’est ainsi qu’Ève aurait dû aimer : comme Marie : c’est-à-dire non pour la jouissance charnelle qu’apportait le fils, mais parce que ce fils était le fils du Créateur et accomplissement de l’obéissance à son commandement de multiplier l’espèce humaine.

Et aimé avec toute l’ardeur d’une parfaite croyante qui sait que son Fils est non pas en figure, mais réellement : Fils de Dieu. À ceux qui trouvent trop affectueux l’amour de Marie pour Jésus, je dis de considérer qui était Marie : la Femme sans péché et donc sans tare pour sa charité envers Dieu, envers ses parents, envers son époux, envers son Fils, envers le prochain, de considérer ce que voyait sa Mère en Moi en plus que d’y voir le Fils de son sein, et enfin de considérer la nationalité de Marie. Race hébraïque, race orientale, et temps très éloignés des temps actuels. Ainsi de ces éléments ressort l’explication de certaines amplifications verbales de l’amour qui pour vous peuvent paraître exagérées. Style fleuri et pompeux, même dans le langage ordinaire, le style oriental et hébraïque. Tous les écrits de ce temps et de cette race en sont une preuve, et le déroulement des siècles n’a pas beaucoup changé le style de l’orient.

Parce que vous, vingt siècles plus tard, et quand la perversité de la vie a tué un si grand amour, prétendriez-vous que vous devez trouver en ces pages une Marie de Nazareth telle que la femme indifférente et superficielle de votre temps ? Marie est ce qu’elle est, et on ne change pas la douce, pure, affectueuse Fille d’Israël, Épouse de Dieu, Mère virginale de Dieu, en une femme excessivement, maladivement exaltée, ou une femme glacialement égoïste de votre siècle.

À ceux qui jugent trop affectueux l’amour de Jésus pour Marie, je dis de considérer qu’en Jésus était Dieu, et que Dieu Un et Trin prenait son réconfort en aimant Marie, Celle qui le repayait de la douleur de toute la race humaine, le moyen pour que Dieu puisse revenir se glorifier de sa Création et qui donne des habitants à ses Cieux. Et qu’ils considèrent enfin que tout amour devient coupable quand, et seulement, quand il enfreint l’ordre, c’est-à-dire quand il va contre la volonté de Dieu et le devoir qu’il faut accomplir.

Or considérez : l’amour de Marie a-t-il fait cela ? Mon amour a-t-il fait cela ? M’a-t-elle retenu, par un amour égoïste, de faire toute la Volonté de Dieu ? Est-ce que par un amour désordonné pour ma Mère, j’ai peut-être renié ma mission ? Non. L’un et l’autre amour n’ont eu qu’un seul désir : que s’accomplisse la Volonté de Dieu pour le salut du monde. Et la Mère a fait tous les adieux à son Fils, et le Fils a fait tous les adieux à sa Mère, en livrant son Fils à la croix de l’enseignement public et à la croix du Calvaire, en livrant sa Mère à la solitude et au déchirement pour qu’elle soit Corédemptrice, sans tenir compte de notre humanité qui se sentait déchirer et de notre cœur qui se sentait briser par la douleur. Cela est-il de la faiblesse ? Du sentimentalisme ? C’est l’amour parfait, ô hommes qui ne savez pas aimer, et qui ne comprenez plus l’amour et ses voix !

Et cette Œuvre a encore pour but d’éclairer des points qu’un ensemble complexe de circonstances a couvert de ténèbres et forme ainsi des zones obscures dans la clarté du tableau évangélique et des points qui semblent des ruptures, et ne sont que des points devenus obscurs, entre l’un ou l’autre épisode, points indéchiffrables et dans l’éclaircissement desquels se trouve la clef pour comprendre exactement certaines situations qui s’étaient créées et certaines manières fortes que j’avais dû avoir, qui contrastaient tellement avec mes exhortations continuelles au pardon, à la douceur et à l’humilité, certaines raideurs envers des adversaires entêtés et que rien ne pouvait convertir.

Souvenez-vous tous, qu’après avoir usé de toute sa miséricorde, Dieu, pour son honneur, sait aussi dire « Cela suffit » à ceux qui, à cause de sa bonté, se croient permis d’abuser de sa longanimité et de l’éprouver. On ne se moque pas de Dieu. C’est une parole ancienne et sage.

Connaître exactement la complexité et la durée de ma longue passion, qui culmine dans la Passion sanglante accomplie en quelques heures, qui m’avait consumé en un tourment quotidien qui avait duré des lustres et des lustres, et était allé toujours en grandissant, et avec ma passion celle de ma Mère à laquelle l’épée de douleur avait transpercé le cœur pendant un temps égal. Et vous pousser, par cette connaissance, à nous aimer davantage.

 

 

Montrer la puissance de ma Parole et ses effets différents selon que celui qui la recevait appartenait à la troupe des gens de bonne volonté ou à celle de ceux qui avaient une volonté sensuelle qui n’est jamais droite.

Les Apôtres et Judas, voici deux exemples opposés. Les premiers, très imparfaits, rustres, ignorants, violents, mais de bonne volonté. Judas, plus instruit que la majorité d’entre eux, raffiné par la vie dans la capitale et dans le Temple, mais de mauvaise volonté. Observez l’évolution des premiers dans le Bien, leur montée. Observez l’évolution du second dans le Mal et sa descente.

Qu’ils observent cette évolution dans la perfection des onze bons surtout ceux qui, par un défaut de vision mentale, ont l’habitude de dénaturer la réalité des saints, en faisant de l’homme qui atteint la sainteté par une lutte dure, très dure, contre les forces lourdes et obscures, un être contre nature sans passions et sans frémissements, et par conséquent sans mérites. Car le mérite vient justement de la victoire sur les passions désordonnées et les tentations que l’on domine grâce à l’amour de Dieu et pour arriver à la fin dernière : jouir éternellement de Dieu. Qu’ils l’observent ceux qui prétendent que le miracle de la conversion doit venir uniquement de Dieu. Dieu donne les moyens pour se convertir, mais Il ne violente pas la liberté de l’homme, et si l’homme ne veut pas se convertir, c’est inutilement qu’il a ce qui pour un autre sert à la conversion.

Qu’ils considèrent ceux qui examinent, les multiples effets de ma Parole, non seulement sur l’homme humain, mais aussi sur l’homme spirituel. Non seulement sur l’homme spirituel, mais aussi sur l’homme humain. Ma Parole, accueillie avec bonne volonté, transforme l’un et l’autre, en l’amenant à la perfection extérieure et intérieure.

Les apôtres qui, à cause de leur ignorance et de mon humilité, traitaient le Fils de l’Homme avec une familiarité excessive — un bon maître parmi eux, rien de plus, un maître humble et patient avec lequel il était permis de prendre des libertés excessives; mais pour eux n’était pas manque de respect : c’était de l’ignorance et donc excusable — les apôtres bagarreurs entre eux, égoïstes, jaloux dans leur amour et de mon amour, impatients avec le peuple, un peu orgueilleux d’être “les Apôtres”, anxieux de l’extraordinaire qui les indique à la foule comme doués d’un pouvoir stupéfiant, lentement mais continuellement se transforment en hommes nouveaux, en dominant au début leurs passions pour m’imiter et me faire plaisir, par la suite en connaissant toujours plus mon vrai Moi, en changeant leurs manières et leur amour jusqu’à me voir, m’aimer et me traiter comme un Seigneur divin. Sont-ils peut-être encore à la fin de ma vie sur la Terre les compagnons superficiels et joyeux des premiers temps ? Sont-ils, surtout depuis la Résurrection, les amis qui traitent le Fils de l’Homme en Ami ? Non. Ils sont les ministres du Roi, d’abord. Ils sont les prêtres de Dieu, ensuite. Tous différents, complètement transformés.

Qu’ils considèrent cela ceux qui trouveront forte, et jugeront contre-nature la nature des apôtres, telle qu’elle était décrite. Je n’étais pas un docteur difficile ni un roi orgueilleux, je n’étais pas un maître qui juge indigne de lui les autres hommes. J’ai su compatir. J’ai voulu former en prenant des matières grossières, remplir de perfections de toutes espèces des vases vides, prouver que Dieu peut tout, et d’une pierre tirer un fils d’Abraham, un fils de Dieu, et d’un rien un maître, pour confondre les maîtres orgueilleux de leur science qui bien souvent a perdu le parfum de la mienne.

Enfin vous faire connaître le mystère de Judas, ce mystère qui est la chute d’un esprit que Dieu avait comblé de bienfaits extraordinaires. Un mystère qui en vérité se répète trop souvent et qui est la blessure qui fait souffrir le Cœur de votre Jésus.

Vous faire connaître comme on tombe en se changeant de serviteurs et de fils de Dieu en démons et déicides qui tuent Dieu en eux, en tuant la Grâce, pour vous empêcher de mettre le pied sur des sentiers d’où on tombe dans l’Abîme, et comment vous enseigner la façon de vous y prendre pour essayer de retenir les agneaux imprudents qui se poussent vers l’abîme.

Appliquez votre intelligence à étudier la figure horrible et pourtant commune de Judas, complexe où s’agitent comme des serpents tous les vices capitaux que vous trouvez et que vous avez à combattre dans tel ou tel. C’est la leçon que vous devez surtout apprendre, car ce sera celle qui vous sera la plus utile dans votre ministère de maîtres spirituels et de directeurs d’âmes. Combien, dans tout état de la vie, imitent Judas en se donnant à Satan et rencontrent la mort éternelle !

Dernières instructions à Maria Valtorta. 

Sept raisons, comme il y a sept parties de l’Œuvre. L’Esprit Saint, auteur et commentateur de l’Évangile, vous rappelle tout ce que j’ai dit. Venez à mon Don. Prenez, prenez cette œuvre et ne la scellez pas.