Les cahiers

Éditions Maria Valtorta

Les cahiers de Maria Valtorta sont souvent considérés comme la suite de l’Évangile tel qu’il m’a été révélé.

Les Cahiers regroupent les écrits de Maria Valtorta de 1943 à 1950, ils réunissent un ensemble d’écrits spirituels, doctrinaux, bibliques ainsi que des passages autobiographiques. On y trouvera également des scènes évangéliques et des visions du martyre des premiers chrétiens, enfin un commentaire de l’Apocalypse.

Les Cahiers furent écrits de 1943, en pleine guerre mondiale à 1950. Ils reflètent certaines observations du Christ sur des questions d’abus de pouvoir, des proportions diaboliques de la guerre et de la perte de la foi chrétienne des populations.

De nombreux passages prophétique, sur les déséquilibres écologiques imminents, de sanglants conflits et du terrible combat entre le Bien et le Mal, présenté, non seulement dans L’Apocalypse, mais dans de nouvelles interprétations des prophètes de l’Ancien Testament.

Donc une vision détaillée des Temps Derniers, en particulier en ce qui a trait à la mission du Vicaire du Christ et de tous les chrétiens convaincus, en vue de transmettre la vie et l’enseignement du Rédempteur et de partager pleinement sa mission humaine et céleste, à la fois ses souffrances et sa glorification.

Les trois cahiers de Maria Valtorta en AUDIO (CD mp3)

Une des notes dominantes de ces textes est la vigueur avec laquelle le Christ affirme sa filiation divine et son rôle unique dans le temps et dans l’éternité, et la tendresse de sa façon d’aborder les âmes troublées et de chercher patiemment à les élever à la foi, à l’espérance et à l’amour, à travers l’humilité de son sacrifice et leur coopération. Il insiste à maintes reprises sur l’importance de débarrasser tous les croyants – et les attitudes religieuses elles-mêmes – de toute impureté, en particulier les prêtres, qui sont responsables du salut des âmes et qui, par conséquent, se doivent d’être semblables au Christ dans leur action. L’amour et la douleur, lorsque joints au Christ dans l’oraison profonde, sont les deux ailes qui permettent à notre humble humanité de s’envoler vers l’union avec la Sainte Trinité.

Marie est aussi très présente dans cette œuvre; parfois, elle dispense des enseignements et nous fait des confidences sur sa vie avec Jésus; à d’autres occasions, elle nous permet de la contempler dans sa sainteté et sa maternité surnaturelle.
Le Saint Esprit se manifeste, brièvement mais de façon énergique, comme l’Amour dynamique en Personne, serrant le Père et le Fils dans une seule étreinte et agissant à travers toute la création.

Un autre thème important de l’œuvre est la primauté de l’“esprit”, qui est capable de participer à la vie de la Divinité, sur l’“âme” et le “corps” dans la structure de l’être humain. La personne doit respecter ici-bas le droit de l’esprit à la sainteté, à la possession de Dieu, rendue possible par le Rédempteur, et toujours agir conformément aux aspirations surnaturelles de l’esprit. Ceux qui omettent de le faire, faisant taire leur esprit et opposant ses désirs, sont coupables de le tuer, privant Dieu et eux-mêmes de la joie réciproque dans la béatitude.

Les versions USB des cahiers

Le 23 avril 1943, Vendredi Saint, Maria Valtorta reçut la première d’une série de “dictées” attribuées principalement au Christ, mais aussi, à l’occasion, à Dieu le Père, au Saint Esprit, à Marie, et à d’autres personnes associées à la Révélation divine.

Ces dictées s’échelonneront sur de nombreuses années qui coïncident essentiellement avec l’époque pendant laquelle, en réponse à l’invitation du Christ, elle contempla les principaux épisodes de la vie du Rédempteur et en fit le récit.

Cette nouvelle phase de son développement humain, et surtout spirituel, ne se manifesta pas tout à coup; elle fut précédée par des années d’union progressive avec le Christ, lesquelles culminèrent en un acte de sacrifice de soi par lequel Maria Valtorta s’offrit comme “âme victime” désireuse de coopérer à l’œuvre de rédemption.

Clouée au lit par une grave infirmité qui ne fait qu’empirer, pratiquement coupée de toute vie sociale normale et généralement incomprise par son entourage, elle s’épanouit sous l’inspiration constante et devint un auteur prolifique, même si elle ne cessa de maintenir que le contenu des “dictées”, ou révélations, n’était pas le fruit de sa propre création littéraire, mais qu’elle n’était qu’un instrument docile entre les mains de Dieu et qu’elle écrivait ce qu’elle entendait ou voyait.

L’ampleur de sa production et les sources auxquelles elle l’attribue en font un événement spirituel extraordinaire en ce siècle, lequel mérite une considération attentive. L’ensemble de l’œuvre de Maria Valtorta est entièrement marqué par une intense perception de la “Catholicité”, c’est-à-dire du sens profond d’être un croyant catholique à ce moment de notre histoire, ainsi que par une vive conscience des vingt siècles de Chrétienté qui se sont écoulés et des défis qui attendent l’Église et toute l’humanité.

Souvent considérés comme la suite de l’Évangile tel qu’il m’a été révélé, Les Cahiers regroupent les écrits de Maria Valtorta de 1943 à 1950, ils réunissent un ensemble d’écrits spirituels, doctrinaux, bibliques ainsi que des passages autobiographiques. On y trouvera également des scènes évangéliques et des visions du martyre des premiers chrétiens, enfin un commentaire de l’Apocalypse.

Des textes de ces Cahiers ont été exclus tous ceux qui concernent l’ouvrage “L’Evangile tel qu’il m’a été révélé”.

Dans les cahiers de 1943, Maria Valtorta relate les eEnseignements variés de Jésus et de Marie : la Grâce, les faveurs accordées aux âmes par une intercession constante, les effets de l’Eucharistie, la condamnation du rationalisme, le feu de l’amour du Purgatoire, le rôle de l’Eglise à la fin des temps, les précurseurs du Christ contre les précurseurs de l’Antéchrist, la directive au Pape, les âmes victimes, « tout est possible à Dieu », etc.


Les Cahiers regroupés dans ce volume furent tous écrits en 1943, en pleine guerre mondiale (deux autres volumes ont été publiés, les textes de 1944 et ceux de la période 1945-1950). Ils reflètent donc, chez l’auteur une conscience aiguë, et parfois déchirante, de la participation de l’Italie à la guerre, ainsi que des erreurs humaines et spirituelles qui y contribuèrent.

Ce souci de la part de l’auteur constitue la toile de fond de certaines observations du Christ sur des questions telles que l’abus de pouvoir, les proportions diaboliques de la guerre et la perte de la foi chrétienne dans de vastes secteurs des populations.

Les cahiers contiennent aussi de nombreux passages à contenu spécifiquement prophétique au sujet, par exemple, des déséquilibres écologiques imminents, de sanglants conflits et du terrible combat entre le Bien et le Mal, présenté, non seulement dans L’Apocalypse, mais dans de nouvelles interprétations des prophètes de l’Ancien Testament.

Les cahiers fournissent une vision détaillée des Temps Derniers, en particulier en ce qui a trait à la mission du Vicaire du Christ et de tous les chrétiens convaincus, en vue de transmettre la vie et l’enseignement du Rédempteur et de partager pleinement sa mission humaine et céleste, à la fois ses souffrances et sa glorification.

Une des notes dominantes de ces textes est la fusion de la vigueur avec laquelle le Christ affirme sa filiation divine et son rôle unique dans le temps et dans l’éternité, et la tendresse de sa façon d’aborder les âmes troublées et de chercher patiemment à les élever à la foi, à l’espérance et à l’amour, à travers l’humilité de son sacrifice et leur coopération. Il insiste à maintes reprises sur l’importance de débarrasser tous les croyants — et les attitudes religieuses elles-mêmes — de toute impureté, en particulier les prêtres, qui sont responsables du salut des âmes et qui, par conséquent, se doivent d’être semblables au Christ dans leur action. L’amour et la douleur, lorsque joints au Christ dans l’oraison profonde, sont les deux ailes qui permettent à notre humble humanité de s’envoler vers l’union avec la Sainte Trinité.

Marie est aussi très présente dans cette œuvre; parfois, elle dispense des enseignements et nous fait des confidences sur sa vie avec Jésus; à d’autres occasions, elle nous permet de la contempler dans sa sainteté et sa maternité surnaturelle.
Le Saint Esprit se manifeste, brièvement mais de façon énergique, comme l’Amour
dynamique en Personne, serrant le Père et le Fils dans une seule étreinte et agissant à travers toute la création.

Souvent considérés comme la suite de l’Évangile tel qu’il m’a été révélé, Les Cahiers regroupent les écrits de Maria Valtorta de 1943 à 1950, ils réunissent un ensemble d’écrits spirituels, doctrinaux, bibliques ainsi que des passages autobiographiques. On y trouvera également des scènes évangéliques et des visions du martyre des premiers chrétiens, enfin un commentaire de l’Apocalypse.

Des textes de ces Cahiers ont été exclus tous ceux qui concernent l’ouvrage “L’Evangile tel qu’il m’a été révélé”.


Les cahiers de 1944 recouvrent une période de plus d’un an qui va du 30 décembre 1943 au 2 janvier 1945. C’est la suite de « Les cahiers de 1943 « , dont il reprend le critère de publication avec quelques modifications.

1er janvier 1944 : Aujourd’hui, j’ai eu seulement la joie de contempler la sainte Face de Jésus.
Peut-être mon bon Jésus aura-t-il considéré qu’il m’a assez parlé dans sa dictée du 31 décembre 1943, qui a commencé ce jour-là pour se terminer le 1er janvier à 2 h 30 du matin, après une interruption de quelques heures due aux causes externes que vous connaissez bien et qui font mon tourment, puisque je voudrais pouvoir ne rien faire d’autre que l’écouter lui seul.

Mais peut-être a-t-il aussi voulu agir de la sorte parce que, aujourd’hui, la pauvre Maria haletait comme un poisson hors de l’eau et qu’elle s’est sentie réellement mal de 15 à 21 heures, avec un essoufflement et des palpitations vraiment impressionnantes, qui m’ont plongée dans un demi-sommeil plus tôt que d’habitude et si
rapidement que je suis restée avec les trois oreillers, de sorte que j’en suis tout endolorie.

Mais je suis heureuse parce que je l’ai vu. Surtout ses yeux bénis. Je me suis engloutie dans ce saphir vivant et magnétique, et j’en suis ressortie radieuse. Et après ces quelques mots dans cette béatitude, je me recueille pour qu’il demeure en ma compagnie pendant toute la nuit.

Souvent considérés comme la suite de l’Évangile tel qu’il m’a été révélé, Les Cahiers regroupent les écrits de Maria Valtorta de 1943 à 1950, ils réunissent un ensemble d’écrits spirituels, doctrinaux, bibliques ainsi que des passages autobiographiques. On y trouvera également des scènes évangéliques et des visions du martyre des premiers chrétiens, enfin un commentaire de l’Apocalypse.

Des textes de ces Cahiers ont été exclus tous ceux qui concernent l’ouvrage “L’Evangile tel qu’il m’a été révélé”.


Après Les Cahiers de 1943 et ceux de 1944, cet ouvrage présente les écrits de Maria Valtorta sur divers sujets d’ascèse, d’exégèse, de doctrine, incluant des descriptions des scènes évangéliques et du martyre des premiers chrétiens. Des textes de ces Cahiers ont été exclus tous ceux qui concernent l’ouvrage “L’Evangile tel qu’il m’a été révélé”.

Ce cahier recouvrent une période de plus d’un an qui va du 2 janvier 1945 au11 septembre 1950. C’est la suite des cahiers de 1943 et de 1944